MOTS DE TAILLE EN DETAIL

Subemergé par tous ces sentiments sans mots.Troublé par ces dirigeants qui lèvent des magots pendant que dans une situation de misère affreuse c'est le peuple qui lève le gros lot.La précarité de vie fait partir son fils à l'école sans un stylot pendant que chez nos representants vampires il y a des styles en lot.

Je m'interesse pas à remplir seulement quelques pages,mais la vie ici mérite bien des témoignages même quand ça suscite trop ma rage tout au long du rivage juste pour faire stopper ce gaspillage,ce pillage,cette politique de maquillage,waww,quel ancrage!

Je veux  pas condamner dans la dictature du secret voilà pourquoi j'écris toujours des essaies sans faire trop d'excès, pouvant entraîner mon décès. Les cris aigus de mes semblables est mon principal verset.Avant tout je réfléchis et j'écris pour mettre face à face mes ésperances et mes regrets.

Il y a trop de certitude,de véritable inquiétude dans mes écrits qui me font tant pleurer sans crier,mais les larmes coulent éternellement dans mon âme et je me demande pourquoi chez-nous tant de drames.

Je me trouve sur un chemin plein de virage,un peu tendu comme la vie.Pour venger les plus démunis,je suis déjà prêt à échanger ma vie à la mort et c'est une obligation d'être ainsi jusqu'à ma mort.AYISYEN,fier de l'être jusqu'à la mort même quand au pauvre peuple haïtien on fait trop de tort.La vie haïtienne est comme une lutte déroulant entre Van Dame et Siborg.

Sur mon chemin je rencontre le politique haïtien,j'ai pas fortement envie de lui serrer la main puisqu'il n'est pas un humain.Loin d'être un SITWAYEN qui pose des actions en cette situation inhumaine pour arriver au terme de notre changement demain. Je dois cesser de rêver d'un peuple qui marche main dans la main tout au cours de ce long et périlleux chemin(la vie).

La CONSCIENCE a disparu,voilà pourquoi améliorer ou donner un sens à la vie ici en AYITI n'est pas la principale mission de l'élu qui s'apprête encore d'être réélu.

J'ai rencontré mes mots dégalochés dans des mots bien prétentieux après un futile voyage dans les cieux auprès des dieux.Le peuple AYISYEN toujours en quête de son inconnaissable destin,devient de plus en plus pessimiste dans son malheureux quotidien.La grande interrogation de l'heure ""KOT KÒB PETWO KARIBE A?"" à cause des policards qui voudraient profiter du moment, ne donnent pas la moindre chance aux PETROCHALLENGERS de faire entendre leur voix même dans l'instant du temps,qui jusqu'à date sont assoifés d'une réponse pouvant apaiser leur peur et du coup changer la vie de l'homme haïtien,considéré aux yeux des étrangers comme un moins qu'un rien.

#MESTOURMENTS

Me Edson Shogun JACQUES,le Mort-Né

Tel: (509) 42214654

PETROCHALLENGER, Quartier Morin,

15/11/18